Our Sustainable School: 3D Arts Students create ‘Trashion’
Sustainability will become our foundation for growth. Exemplifying this shift in focus is the culmination of Upper School 3D Arts ‘Trashion’ unit.
GWA is committed to preparing students for the future by becoming a school that operates sustainably in every respect. One part of that commitment is creating a more sustainable campus. Head of School, Colin Websterhas already announced plans for the school’s campus to incorporate Green Initiatives such as solar panelling, permaculture and hydroponic gardens, rain gardens, etc. In terms of academic sustainability, GWA transitions to an expanded IB Diploma Programme in the coming school year, meaning our curriculum will include the latest and most innovative, learner-centred teaching approaches which place a large emphasis on what global citizenship will look like in the future. GWA students already participate in and organize Green Initiatives through projects such as Parent Club’s Bring-Your-Own-Bottle plastic cup-free water fountains, IB CAS projects such as the Go Green with Love Bouskoura Forest Clean-up day, and Buddies Without Borders, an international workshop focusing on the Design Thinking approach to sustainable solutions.
Sustainability will become our foundation for growth. Exemplifying this shift in focus is the culmination of Upper School 3D Arts ‘Trashion’ unit, taught by arts teacher and graphic designer, Sara Heyl. Ms. Heyl explains that “Trashion is something that was started to create awareness around waste and the need to take better care of our environment.” Creating trashion is the art of up-cycling trash or unwanted clothing into wearable pieces. Mrs. Heyl felt that this project would challenge students to “be creative and design wearable art that can be made from anything that’s upcycled, recycled or going into the trash. The fashion industry plays a big role in the amount of waste that goes into landfills and it’s probably one of the most unsustainable industries.” GWA prepares students to tackle the problems of tomorrow with an emphasis on sustainable solutions and reform on a large scale and on a personal level. Ms. Heyl explains that “Trashion is a great way to get students to think about how they, themselves can reduce their carbon footprint.”
Ms. Heyl began the design process with having students survey the amount of waste in their house and the waste around them. Students then observed online trashion shows for inspiration and were encouraged to choose a culture or time period to root their design. Nour Elhouda Dahhan, 12th grade, took “inspiration from the Victorian era, or more specifically the polonaise, which was a garment or dress featuring both an overskirt and a corset. The skirt is also very long, covering the entire lower body, with a flare at the bottom.” Nour had hundreds of old magazines in her home which she manipulated into wearable trashion in an attempt to “bring awareness to and communicate through the design of my piece the one-time use of paper magazines that affects the air quality and water pollution since they are then being burned, producing waste being thrown into the ocean, dumps, and carbon dioxide emissions.” Nour points out that a great way for individuals to reduce their carbon footprint is to only purchase online magazine subscriptions.
11th grader Mohammed Houssini Skalli used a favorite character from his childhood as inspiration, Grendizer. Skalli explains that “I am attempting to bring the issue of street pollution to the surface because I really despise it when I see trash thrown onto the streets or sidewalks.” 12th grader Danya Khalifa learned to sew during this unit and is committed to continuing to create with unwanted items. 10th grader Mariem Alareefy noted that even though she isn’t currently living in her home, “I found a lot of waste in things that I use everyday like water bottle caps and tissue boxes” from which she upcycled her denim jacket. Overall, each student came away from the project having noticed the scale of impact individual homes and persons have on the environment, from tossing trash out of the car to continuing to buy liquids in one-time-use plastic bottles. April 22nd, Earth Day is a reminder that we have sustainable choices and we are creative individuals who can inspire change.
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La raison d’être de GWA est de préparer les élèves à leur avenir en devenant une école qui fonctionne sur le mode du développement durable. Une des facettes de cet engagement est de créer un campus plus éco-responsable. Le Chef d'Établissement, Colin Webster, a déjà fait part des projets de l’école relatifs aux Énergies Vertes. Il s’agit entre autres de la mise en place de panneaux solaires, de permaculture et culture hydroponique, de jardins pluviaux etc. Sur le plan académique, GWA se dirige, pour l’année à venir, vers un Programme du Diplôme IB étendu : cela signifie que notre programme d’enseignement utilisera les dernières techniques d’enseignement centrées sur l’apprenant, qui mettent largement l’accent sur le devenir de la citoyenneté mondiale. Les élèves de GWA organisent et participent déjà à des Événements Verts. Pour n’en citer que quelques-uns : le projet “Bring-Your-Own-Bottle” du Parent Club visant à réduire l’utilisation des bouteilles en plastique à usage unique, le projet de nettoyage de la forêt de Bouskoura “Go Green with Love” organisé par les élèves du CAS, et le séminaire international “Buddies Without Borders”, qui se focalise sur l’approche Design Thinking pour trouver des solutions durables aux problèmes environnementaux.
Le développement durable est en passe de devenir la base de notre croissance. Intitulée ‘Trashion’, la dernière unité du cours d’Arts 3D de Sara Heyl, enseignante d’arts à GWA et designer graphique, illustre parfaitement ce changement de cap. Ms. Heyl explique que “Trashion a pour objectif d’attirer l’attention sur le problème des déchets et la nécessité de préserver notre environnement.” Le concept de ‘Trashion’ est l’art de réutiliser des déchets (“trash”) ou des vêtements usagés, et de les transformer en pièces vestimentaires que l’on peut porter. Grâce à ce projet, Ms. Heyl a souhaité mettre les élèves au défi de “se montrer créatifs et de concevoir des pièces d’art vestimentaires à partir de tout matériau upcyclé, recyclé ou destiné à être jeté. Le secteur de la mode alimente massivement les déchetteries et c’est probablement l’un des secteurs industriels les moins éco-responsables." GWA prépare les élèves à affronter les problèmes de demain avec une volonté de trouver des solutions durables et des opportunités à petite et grande échelles. Ms. Heyl explique que “Trashion est un excellent moyen pour amener les élèves à réfléchir à la façon dont ils peuvent, à leur propre niveau, réduire l’empreinte carbone."
Ms. Heyl a débuté ce processus en demandant aux élèves d’observer la quantité de déchets produits chez eux et dans leur environnement proche. Ils ont ensuite regardé des défilés de mode trashion en ligne pour y puiser leur inspiration, puis ont choisi un courant ou une époque pour ancrer leur design créatif. Nour Elhouda Dahhan, élève en 12th grade, s'est “inspirée de l’époque victorienne, et plus particulièrement de la polonaise, une robe drapée avec une surjupe et un corset. La jupe est par ailleurs très longue et évasée, couvrant entièrement le bas du corps.” Nour a récupéré des centaines de vieux magazines qu’elle avait chez elle. Elle les a transformés en pièce vestimentaire ‘trashion’, et tente, par le biais de sa création, d’éveiller les consciences et de communiquer sur la production de déchets que représentent ces magazines papier à usage unique : leur combustion produit des déchets rejetés dans les océans ou dans les déchetteries, et du dioxyde de carbone, polluant ainsi la qualité de l’air et et de l’eau. Nour souligne qu’une formidable manière pour réduire individuellement notre empreinte carbone est de souscrire uniquement à des abonnements de magazines en ligne.
Mohammed Houssini Skalli, élève en 11th grade, s’est inspiré d’un des personnages préférés de son enfance, Goldorak. Skalli explique qu’il “essaie ainsi de soulever le problème de la pollution en ville, [parce qu’il] ne supporte pas de voir des ordures jetées dans la rue ou sur les trottoirs.” Danya Khalifa, élève en 12th grade, a appris à coudre grâce à ‘Trashion’ et souhaite concevoir d’autres créations avec des objets usagés. Mariem Alareefy, élève en 10th grade, constate que même si elle n’habite pas chez elle pour le moment, “il y a beaucoup de déchets parmi les choses [qu’elle] utilise tous les jours, tels que les bouchons de bouteilles et les boites de mouchoirs jetables”, à partir desquels elle a upcyclé sa veste en jean. De manière générale, à l’issue du projet, chaque élève a fait le constat de l’impact que chaque foyer ou individu peut avoir sur l’environnement, que ce soit en jetant sauvagement des ordures dans la nature ou en continuant à acheter divers liquides conditionnés dans des bouteilles en plastique à usage unique. La Journée de la Terre, célébrée le 22 avril, est l’occasion de nous rappeler que des alternatives durables existent, que nous regorgeons de créativité et que nous sommes capables d’inspirer le changement.
Pour voir davantage de créations des élèves du cours d’Art 3D, rendez-vous sur notre compte Insta, @gwacasablanca !